Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Forum RPG sur Underworld, 10 ans après le soulèvement des Lycans, vivez la guerre des immortels comme si vous y étiez...
 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
-21%
Le deal à ne pas rater :
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, Collection Botanique
39.59 € 49.99 €
Voir le deal

 

 Erzébeth Döme - A Wonderfull Human

Aller en bas 
4 participants
AuteurMessage
Erzébeth Döme
- Humain -

Erzébeth Döme


Messages : 91
Pièces d'Or : 5469
Date d'inscription : 19/01/2010

Erzébeth Döme - A Wonderfull Human Empty
MessageSujet: Erzébeth Döme - A Wonderfull Human   Erzébeth Döme - A Wonderfull Human Icon_minitimeMar 19 Jan - 19:13

Döme Erzébeth

Erzébeth Döme - A Wonderfull Human Eli_ic15 Erzébeth Döme - A Wonderfull Human Eli_ic17 Erzébeth Döme - A Wonderfull Human Eli_ic16

feat. Olivia Wilde
(c) Elii''

  • Nom :
Döme
  • Prénom :
Erzébeth
  • Age et dâte de naissance :
Savez-vous qu’il est très impoli de demander son âge à une Noble Dame ?! Pourtant, je vais tout de même vous répondre, je ne suis pas sotte au point de cacher mon âge. J’ai en réalité 22 ans et je suis donc née le 3 Août 1331
  • Profession:
Je n’ai que faire d’une profession particulière, je suis Duchesse d’Erat et accessoirement Hussard mais c’est absolument secret … Je compte sur vous pour ne pas le révéler.

Character and Physics


  • Caractère:


    On pourrait aisément dire que j’ai plusieurs personnalités ce qui est en quelque sorte la stricte vérité. En effet, j’ai un caractère particulier bien trempé. Je ne suis pas une de ces jeunes femmes de la cour que seul les strass et les paillettes attirent, j’attends beaucoup plus que cela de la vie. J’ai un caractère difficile à supporter et de fait, je le dois à ma mère et à mon père. J’ai toujours été choyée et adulée par mes parents ne fut-ce que grâce à ma beauté et ils cédèrent à tous mes caprices, comprenez donc pourquoi je suis une femme de caractère habituée à ce que tout se déroule selon ses désires autour d’elle.

    On peut également dire que j’ai une poigne de fer dans un gant de velours car oui, je sais pertinemment diriger tout mon petit monde de façon élégante et subtile. Je suis particulièrement difficile à vivre et pourtant, le bonheur de mes proches passe avant tout pour moi si bien que je serais prête à toutes les folies pour leur rendre la vie plus agréable. Je suis également une grande rancunière. J’accord difficilement ma confiance et je peux l’ôter très rapidement sans que la personne ne puisse plus jamais la gagner. Ne vous fiez pas à mon visage d’ange, je suis plutôt une diablesse en fin de compte.

    Je suis également une jeune femme cultivée et m’intéressant à de nombreuses choses autre que les futilités de mes compagnes à la cours. Je suis une des rares femmes ayant apprit à lire ce qui m’aide énormément. Je suis également très spirituelle et amusante par moment, si on sait me brosser dans le sens du poil bien entendu. Bien entendu, ma grande beauté attire de nombreux regards et il m’arrive généralement de briser quelques cœurs en les éconduisant. Je peux très bien paraitre hautaine, froide et distante mais ce n’est en vérité qu’une façade et seuls les personnes qui osent m’approcher ont eu le grand bonheur de le découvrir.

    Oui, vous pouvez le dire, je suis également très imbue de moi-même et je ne m’en cache pas. Mon rang fait que je sais ce que je vaux et le respect qui est du à mon titre. Cependant, je peux également me montrer très douce et agréable à vivre quand je le décide. Je prends également mes responsabilités très au sérieux pour le plus grand bonheur de ma famille. Un autre trait peut également me caractériser, je suis persévérante. C’est-à-dire que je ferai tout ce qui en mon pouvoir pour obtenir ce que je désire quitte à employer certaines méthodes qui ne sont certainement pas très reluisantes pour une Dame de mon rang.


  • Physique:


    Je dois bien l’avouer, je ne suis pas spécialement grande, j’ai une taille normale pour une femme et pourtant, je dégage une extraordinaire présence qui fait que tout le monde me remarque généralement quand je suis dans une pièce. On peut affirmer que je ne passe pas inaperçue. Je porte généralement mes cheveux noirs lâchés, m’arrivant au milieu du dos même s’il m’arrive généralement de faire des chignons assez sophistiqué lorsque je me rends à des soirées mondaines. Mes cheveux son soyeux et dégradés sur le devant. Ce que je préfère chez moi, ce sont certainement mes yeux. J’adore leur couleur virant du bleu au vert selon la luminosité ambiante. Bien entendu, je suis également très bien proportionnée, on dira que j’ai ce qu’il faut là où il faut.

    J’ai la peau claire, comme toutes les femmes de ma famille et les lèvres couleur boutons de rose. Je possède également un nez aquilin qui va parfaitement avec la forme de mon visage angélique. J’adore porter de belles toilettes et être agréable à regarder. J’aime également énormément les bijoux qui rendent la femme encore plus belle d’après moi ce qui fait que je ne sors jamais sans une parure complète, généralement en diamant.



Your Story


  • Histoire:


    0°0° Un mariage Heureux °0°0

    Contrairement à ce que vous pourriez croire, mes parents avaient bel et bien eu la possibilité de se marier par amour. Bien entendu, ils avaient été promis l’un à l’autre dès leur plus jeune âge comme la coutume le demandait et pourtant, un amour éternel et sans aucune ombre. Andreas et Alexander avaient passé tous leurs étés ensemble depuis leur plus jeune âge. Andréas, ma mère, est en fait issue d’une noble famille vénitienne tandis que mon père, Alexander, était le fils ainé du Duc d’Erat. Leurs familles respectives se connaissaient très bien car elles avaient souvent traité ensemble du point de vue économique. C’est donc ainsi que les deux familles se rapprochèrent à la naissance de leurs enfants en vue d’une union future. Bien entendu, mes parents vivaient dans leur famille durant l’année et ne se retrouvaient ensemble que durant les vacances. Ils avaient une très petite différence d’âge mais qui était des plus futiles à cette époque. En effet, Alexander était 2 ans plus vieux qu’Andreas. Les étés se succédèrent se passant une fois à Venise et la fois suivante à Erat. Les années se passèrent relativement bien, chacun suivait son éducation dans sa famille. Depuis qu’elle était en âge de comprendre, ma mère savait qu’elle était destinée à épouser le jeune homme avec qui elle passait tous ses étés si bien qu’elle fit tout ce qui était humainement possible pour lui plaire et lui être agréable.

    Les années passèrent et l’amour vint emplir le cœur des deux jeunes dulcinés, comme quoi un mariage arrangé pouvait être des plus heureux. Andreas devint une parfaite jeune femme noble et très douée pour diriger toute une maison comme il le fallait tandis qu’Alexander s’intéressait aux études et se fit une très bonne place en politique en Hongrie. Vint alors l’âge propice à un mariage. Andreas avait alors 18 ans et Alexander 20. Ils se retrouvèrent durant l’été précédent leur union et d’un seul regard, ils comprirent qu’ils étaient fait l’un pour l’autre. Contre toute attente, Alexander prit les devant en demandant sa main à ma mère. Bien entendu, ni ses parents à lui ni ceux de sa future épouse n’étaient au courant de cette demande qu’il devait normalement formuler à la fin de l’été. Ma mère accepta immédiatement de l’épouser et c’est alors un mariage d’amour qui fut célébré à Erat quelques mois plus tard. La cérémonie était tout simplement magnifique. Comment pouvait-il en être autrement ?! Le Duc mariait son fils unique à la fille unique d’un couple de Prince vénitien. Tout allait pour le mieux et le couple s’établit alors dans le duché d’Erat car Alexander avait des responsabilités en Hongrie. Andreas eut un peu de mal à s’habituer au climat hongrois au départ mais l’amour illimité qu’elle portait à son époux l’aida à s’habituer au climat. Ma mère a toujours eut le chic pour se faire apprécier de tous si bien que sa gentillesse l’aidait beaucoup à se faire aimer et respecter des employés de la demeure si bien que tout était toujours parfait, tout comme elle.

    Le bonheur était au rendez-vous pour le couple. Ils étaient très heureux et pourtant, Andreas désirait une chose plus que tout au monde et ne parvenait pas à l’obtenir, un enfant. Plus d’un an passa et la jeune femme n’était toujours pas enceinte. Elle était tout simplement désespérée, persuadée que son époux la quitterait pour une autre si elle ne tombait pas rapidement enceinte. Et pourtant, la jeune demoiselle s’éveilla au beau milieu de la nuit, prise de violentes nausées. Comme son époux veillait continuellement sur elle, il vint la retrouver dans leur luxueuse salle de bain. Voyant que les jours passaient et qu’Andi était toujours aussi malade, le jeune époux fit venir le médecin à leur domicile. La cause de ces malaises matinaux fut rapidement établie, Andi allait tout simplement bientôt devenir maman. Ce fut un des plus beaux moments de la vie des deux futurs parents. Ils s’empressèrent d’aller annoncer la bonne nouvelle à leur famille respective, faisant le voyage jusqu’à Venise. Tout ce passait pour le mieux dans le couple, il était affectivement les plus comblés du monde à leur yeux. Les premiers mois de la grossesse se passèrent à merveille mis à part les petites nausées du matin. Plus le temps passait et plus le ventre de la jeune demoiselle s’arrondissait. Les futurs parents étaient tout simplement aux anges. Si bien qu’il était devenu impossible à Andreas de nouer ses chaussures toute seule lorsqu’elle arriva au terme de sa grossesse.

    0°0° L’arrivée d’une Beauté °0°0


    2 Aout 1331, il faisait une chaleur accablante sur le duché d’Erat où les mariés avaient élu domicile, ce qui est très rare il faut bien le reconnaitre, comme si le temps savait qu’une personne spéciale allait voir le jour à cet instant. La jeune femme souffrait terriblement de la chaleur en plus de sa grossesse. Ainsi, elle cherchait refuge à l’ombre bien que cela ne change pas grand-chose. La journée passa normalement, Andrea était totalement incapable de faire quoi que ce soit, si bien que les domestiques de la maison se chargeaient de tout, une d’entre elles restant continuellement aux cotés de la future maman. L’heure du diner arriva heureusement bien rapidement. En effet, la jeune femme avait eu beaucoup de visite ce jour-là, ses amies venant prendre des nouvelles du bébé et de la maman. Au moment de se mettre à table en compagnie d’Alexander, Andrea ressentit une douleur fulgurante dans son ventre et un liquide coula le long de ses jambes. En larmes, elle n’arrivait plus à articuler un seul son tellement la douleur devenait importante. Alexander, prit de panique, appela un domestique et lui ordonna de prévenir la sage femme tandis qu’il attrapait sa femme dans ses bras pour la conduire à sa chambre. Ils n’eurent pas à patienter bien longtemps avant d’entendre la voiture de l’accoucheuse arriver sur les lieux. En effet, Andi voulait que tout se déroule chez elle. Directement, la sage femme fut conduite au chevet de sa patiente qui manqua plusieurs fois de perdre connaissance sous la douleur. Le temps sembla une éternité aux futurs parents. Les souffrances de la jeune femme tiraient des sanglots à son époux qui ne supportait pas de la voir dans cet état. Il aurait tout donné pour subir ces tortures à la place de sa dulcinée. La nuit passa, longue et toujours aussi angoissante. Le soleil montrait le bout de son nez lorsqu’on entendit des pleurs provenir de la chambre de la parturiente, la petite était née aux premières lueurs du 3 aout.

    Immédiatement, Alexander se précipita aux cotés de sa femme pour découvrir le petit être qu’ils avaient tellement attendu et désiré. Le bébé était déposé sur la poitrine de sa mère et se calmait déjà. C’était une magnifique petite fille en parfaite santé. Les amoureux se regardèrent un moment, serrant leur enfant contre eux à tour de rôle. Comme convenu, ils lui donnèrent un nom. En effet, les parents avaient choisit un prénom de fille et un de garçon au cas où. C’est ainsi que ce petit être fut appelé Erzébeth Sarah selon le désir de ses parents portant ainsi les prénoms de sa grand-mère hongroise et de sa grand-mère italienne. Les premiers jours de la fillette furent bien mouvementés. La famille et les amis vinrent lui rendre visite, s’extasiant sur sa beauté et lui apportant un nombre incalculable de cadeaux. Un soir, les deux époux discutèrent du futur de leur enfant. Bien entendu, Alexander aurait aimé que la petite Beth soit élevée par une gouvernante hors son épouse s’y opposait totalement, elle voulait voir sa fille unique grandir et lui donner l’éducation d’une grande dame. Lorenzo fini par céder à sa femme comme à son habitude, il ne pouvait rien lui refuser.

    0°0° Son Enfance Dorée °0°0


    Le bébé que j’étais grandit à une vitesse hallucinante et beaucoup trop rapidement au gout de mes parents. Andreas et Alexander essayèrent plusieurs fois d’avoir d’autres enfants mais ce bonheur ne leur fut pas accordé si bien que les parents vouèrent un amour sans aucune limite et inconditionnel à leur fille unique. A cette époque, il était beaucoup mieux vu d’avoir un garçon en ainé pour prendre les rennes à la mort du père et bien qu’Alexander regretta durant quelques années de ne pas avoir de fils, sa fille unique se montra aussi douée en politique et en gestion du territoire que le meilleur des fils mais c’est une autre histoire …. Ma bouille enfantine se transforma peu à peu, laissant un visage angélique entouré de longs cheveux noirs soyeux. Mon sourire angélique faisait fondre toutes les personnes qui m’entouraient si bien que j’obtenais généralement tout ce que je désirais. Lorsque j’eus 12 ans, mon éducation commença mais, contrairement aux autres filles de mon âge, je bénéficiai d’une double éducation. C’est ainsi que je passai mes matinées en compagnie de ma mère afin d’apprendre toutes les bonnes manières, la façon de gérer une demeure et son personnel ainsi que les autres activités destinées aux Dames comme la broderie et l’art de la musique tandis que je passais mes après-midi avec mon père qui m’apprenais à lire et à diriger le Duché dont j’étais la seule héritière. J’aimais énormément ma vie ainsi que ce que je pouvais y apprendre si bien que je me mis à lire tout ce qui me passait sous la main dès que j’avais un moment de libre.

    Mes parents étaient très fiers de moi et on pouvait facilement lire la satisfaction dans leurs yeux. J’étais dans un sens un fils et une fille tout en restant élégante et distinguée. Pourtant, les années passaient et mon éducation vint peu à peu à son terme. J’étais aussi bien capable de passer des heures en compagnie de ces Dames à parler chiffons qu’en compagnie de ces Gentilshommes à discuter politique. J’eus pas mal de problème à faire valoir mon opinion au début avec les hommes qui prenaient généralement les femmes pour des demeurées et pourtant, ma capacité à m’imposer et à obtenir ce que je désirais m’aida grandement à me faire entendre. Au bout de deux années, je fut parfaitement acceptée au niveau politique dans le Duché d’Erat et mon père était extrêmement fier de moi, j’étais certainement une des rares femmes à réellement avoir un pouvoir direct et reconnu. En effet, il est bien connu que derrière tout grand homme se cache une femme qui est là pour le guider mais moi, j’étais à l’avant plan et non pas pour guider mon époux mais plutôt pour prendre le contrôle et le pouvoir sur mon Duché lorsque mon père ne serait plus.

    La veille de mes 18 ans arriva à une vitesse hallucinante. J’étais une jeune femme élégante et bien développée pour mon âge. Mon rôle de femme de la cour allait alors reprendre le dessus car la coutume voulait que toutes les jeunes demoiselles ayant atteint leur dixhuitième anniversaire se présentent à la cour du Roi de Hongrie et tente de se trouver un bon partit à épouser. Pourtant, ce n’était aucunement dans mes ambitions. Me marier m’importait peu, je désirais toujours apprendre plus et me caser n’était pas du tout ma priorité ce que mes parents comprenait parfaitement. De plus, je détestais m’éloigner trop longtemps de mon Duché de peur que mon autorité faiblisse durant mon absence. Mes parents réussirent pourtant à me convaincre que j’étais parfaitement intégrée aux décisions majeures de ma future propriété et que je n’avais de toute façon pas le choix. C’est donc un peu à contre cœur que je fis mes paquets, aidée de mes dames de chambre, pour me rendre dans la capitale de mon pays.

    0°0° Son Entrée à La Cour °0°0


    Une voiture tirée par 2 chevaux blancs nous attendait, ma mère et moi, devant le manoir 3 jours après l’annonce de mes parents. Nos domestiques mirent nos paquets dans la voiture. Le voyage qui nous séparait de la capitale ne durait pas trop longtemps. Nous arrivâmes devant la résidence du Roi en 3 jours. Je n’avais aucune envie de m’éterniser dans ce domaine et pourtant, je n’avais absolument pas le choix malheureusement. Pourtant, ce n’était pas faute d’avoir essayé d’échapper à cette corvées en utilisant des moyens divers et variés. Je savais également que mon père viendrait nous rejoindre quelques jours plus tard et espérait être là pour mon anniversaire et ma présentation au monde. Je passai de long moment dans ma chambre à lire les traités récemment mis au vote dans mon Duché tout en passant un minimum de temps en compagnie des autres jeunes demoiselles qui devaient également être présentées à la cour en même temps que moi. Je les trouvais vraiment inintéressante mais ma bonne éducation me dictait de m’intéresser à ce qu’elles me racontaient ou du moins de faire semblant ce pour quoi j’étais extrêmement douée. Elles furent toutes choquées lorsque je leur dit que je n’étais pas présente dans le but de rencontrer mon futur époux et que j’avais hâte de rentrer dans mon Duché. Duché où je prendrai le pouvoir un jour. Mes compagnes ne comprenaient aucunement que je puisse m’intéresser à la politique et encore moins que mon père tienne à me léger les rennes du pouvoir lorsqu’il ne serait plus capable de diriger notre Duché. Pour elles, ce n’étaient aucunement le rôle des femmes qui devait être de donner des enfants et de répondre aux désires de leurs époux.

    Nous n’avions pas la même vision de l’avenir et j’étais consciente de la chance incalculable que j’avais de ne pas avoir eu de frère. Je me serais certainement retrouvée dans la même situation que ces jeunes femmes s’il en avait été autrement et pourtant, un avenir beaucoup plus palpitant s’ouvrait devant moi. Le jour de mon anniversaire et de ma présentation à la cour. J’attendais avec une impatience non feinte l’arrivée de mon père ce qu’il fit pour le déjeuner. Nous l’attendions, ma mère et moi pour manger. Je lui sauté dans les bras lorsqu’il pénétra dans nos appartements. Il me sera contre lui avant de sortir un long écrin qu’il me tendit avant d’aller embrasser ma mère. Ils me couvaient tous les deux du regard, le regard empli d’amour que posent les parents sur leur enfant lorsqu’ils se rendent enfin compte qu’elle n’est plus une enfant mais bel et bien une adulte. Mes mains tremblaient légèrement lorsque j’ouvris le long écrin que je tenais dans mes mains. Mon Dieu, mon père venait de m’offrir un diadème incrusté de diamants pour ma présentation. Je les remerciai, les embrassant tendrement tandis que nous nous mettions à table. Nous mangeâmes tranquillement avant de passer aux choses sérieuses, enfin, sérieuses de mon point de vue et du point de vue de mon père bien qu’un peu moins de celui de ma mère. Je voulais tout savoir sur ce qu’il s’était passé à Erat durant ma semaine d’absence. Mon père m’expliqua en détail tout ce qu’il s’était passé et j’approuvai les décisions qu’il avait prises. Il m’adressa un large sourire en me répondant qu’il espérait bien que les décisions me conviendraient étant donné que c’était lui mon formateur.

    Nous discutâmes des affaires d’Etat jusqu’au moment où ma mère se leva pour venir se placer devant moi. Je l’observai d’un regard légèrement intrigué et elle ne tarda pas à s’expliquer, m’annonçant qu’il était déjà tard et que je n’avais plus énormément de temps pour m’apprêter avant le bal donné ce soir-là. Je poussai un soupir résigné en suivant ma mère dans ma chambre. Je passai un moment dans la salle de bain, me délassant dans la bassine d’eau chaude que les domestiques avaient remplie. Je décidai enfin à m’en extraire sous la pression de ma mère qui voulait que je suis totalement parfaite. J’avais les cheveux humides lorsque je sortis de ma baignoire et que je m’enroulai dans mon peignoir. Je rejoignis ma mère qui se trouvait dans ma chambre, entourée par une armada de servantes prêtes à faire le maximum pour que je sois la perle de la soirée. Je levai les yeux au ciel ce qui fit beaucoup rire ma mère avant de passer entre les mains de ces Dames. Elles passèrent un très long moment à s’affairer autour de moi et j’avoue que je finis même par me prendre au jeu à la fin. Lorsqu’elles eurent fini de me préparer sous les ordres de ma mère qui n’hésitait jamais à faire certaines choses elle-même pour qu’elles correspondent à ce qu’elle désirait, je fut enfin autorisée à me voir dans un miroir en pieds.

    Je savais très bien que ma mère avait fait venir ma robe sur mesure d’Italie mais je ne m’attendais absolument pas à cette merveille ! J’étais tout simplement éblouissante. Je portais une longue robe à bustier cintrée, s’évasant au niveau de la taille pour finir par une courte traine le tout dans les tons lilas. J’avais les escarpins assortit. Ma mère m’avait coiffée elle-même et avait réalisé un véritable chef d’œuvre. Mes cheveux étaient remonté en un demi chignon bouclé, agrémenté de petite fleurs violettes et mon diadème trônait fièrement sur le haut de ma tête. Il manquait pourtant alors quelque chose, je portai ma main tout d’abord à mes oreilles pour terminé par mon coup. Je vis alors le sourire nostalgique de ma mère qui se trouvait juste derrière moi. Elle s’avança alors un peu et me murmura à l’oreille qu’elle possédait de quoi faire de moi la plus parfaite des jeunes femmes. Je lui lançai un regard interrogateur mais elle n’en dit pas plus, elle se contenta de poser ses mains sur mon cou et lorsqu’elle les enleva, je portais le magnifique collier en diamants qu’elle portait le jour de son mariage. Je me retournai vers elle au bord des larmes mais elle me demanda de me pas pleurer, après tout, elle ne voulait pas recommencer mon maquillage. Je la serrai dans mes bras. Elle déposa un léger baiser sur ma joue et me tendis les boucles d’oreille qui allaient avec mon pendentif. Il était à présent temps que je sorte de ma réclusion pour le salon où mon père tournait comme un lion en cage, je le savais bien. En même temps, ce n’est pas tous les jours que votre fille unique fait son entrée à la cour ….

    Ma mère entra la première dans le salon, se plaça dans les bras de mon père et m’appela. Je fis alors mon apparition et je vis le visage de mon père se fondre d’un large sourire avec ce petit trait nostalgique que j’avais décelé chez ma mère. Mon père me complimenta, me disant que je ressemblais à ma mère de jour en jour ce qui était un véritable compliment étant donné la beauté hors norme d’Andreas. Alexander fit rapidement le tour de sa fille, la serrant dans ses bras. Mon père avait braiment beaucoup de mal à se rendre compte que j’étais à présent une adulte et surtout une jeune femme en âge de me marier. Il savait très bien que ce n’était pas ma principale préoccupation du moment et que j’aimais trop prendre part à la politique d’Erat pour m’enticher d’un homme qui me reléguerait au second plan et pourtant, l’amour ne frappe pas toujours au moment où on s’y attend. C’est donc ainsi que mon père me donna le bras pour m’emmener à la présentation officielle de la cour de Hongrie où je devais rencontrer tout le gratin de la société. Mon entrée fut des plus remarquée, déjà rien que mon titre en disait long car je n’étais pas la fille du Duc et de la Duchesse d’Erat comme on avait coutume de nommer les jeunes femmes à l’époque, j’étais la Duchesse d’Erat au même titre que ma mère. J’avoue que j’étais quelque peu stressée à l’idée de voir tous ces regards braqués sur moi et ma mère me conseilla de fixer un point dans le fond de la salle où personne ne se trouvait. Le héraut de la cour m’annonça alors et je perçu les murmures qui parcoururent la salle.

    J’avançai alors tranquillement, à pas mesuré comme me l’avait enseigné ma mère avec la grâce et l’élégance due à mon rang. Je descendis les escaliers d’un pas assuré, une main délicatement placée sur la rampe pour maintenir un certain équilibre, faisant bien attention de ne pas me prendre les pieds dans ma robe. J’arrivai enfin à la dernière marche et je me dirigeai vers le long tapis rouge qui s’avançait dans le centre de la pièce où un jeune homme m’attendait pour m’accompagner à ma table. Je détestais ce genre de chose, j’avais vraiment l’impression d’être un morceau de viande qu’on observe avant d’acheter mais je n’en fis rien. Je continuai mon avancée, mon port de tête digne d’une reine. Le jeune homme qui m’attendait semblait passablement mal à l’aise et même un peu apeuré. Il me présenta son bras que je pris avant de lui murmurer que je n’avais encore tué personne ce qui eut au moins le mérite de faire apparaitre un petit sourire sur ses lèvres. Il m’aida à m’installer avant de disparaitre. J’avais un jeune homme de chaque coté de moins et j’étais en compagnie de plusieurs jeunes demoiselles que je connaissais. A leurs regards, je sentis immédiatement que la soirée allait être on ne peut plus animée. Je ne pipai cependant pas mot, attendant qu’un des convives n’en vienne à m’adresser la parole ou à me demander mon avis. C’est mon voisin de droite, un comte qui prit le premier les devant, intrigué par le titre que j’avais étalé en entrant.

    Le Comte Olaf : « Chère Erzébeth, puis-je vous posez une question ?! »

    Erzébeth : « Mais faites mon ami ! »

    J’étais toujours charmante et agréable en société ne fut-ce que pour préserver les apparences et surtout la bonne entente avec des personnes qui pourrait se révéler utile pour moi par la suite mais je n’en pensais tout de même pas moins. J’avais l’étoffe d’une grande diplomate et je le savais pertinemment bien tout comme mon père qui me laissait souvent mener les négociations à sa place car j’obtenais généralement un bien meilleur résultat qu’il n’avait osé l’espérer. Je le vis peser chacun de ses mots dans le but de ne pas me choquer ou de ne pas me paraitre trop indiscret.

    Le Comte Olaf : « J’aurais vraiment aimé connaitre la raison pour laquelle on vous a présenté comme la Duchesse d’Erat et non comme la fille des Ducs d’Erat. »

    Je lui adressai un bon sourire. Ce pauvre homme était tout simplement incapable de comprendre la raison de mon titre et ce qu’il représentait vraiment. Je pris donc un air totalement détaché pour lui répondre.

    Erzébeth : « Oh, c’est donc votre question ! Et bien, je suis Duchesse au même titre que ma mère car je suis l’héritière du Duché de mon père. Je participe activement à la politique de mon Duché et j’y prends déjà énormément de décisions et mon père envisage de me céder sa place dans les prochaines années, lorsqu’il sera las de s’occuper des affaires d’état. Il me forme en ce moment même. Ais-je répondu à vos attentes ?! »

    Il m’observa, bouche bée, encore un de ces prétentieux qui pensait que la femme n’était bonne qu’à faire des enfants et à s’occuper de la maison et d’activités futiles. Dans un certain sens, j’avais de la peine pour ces personnes. Mon petit sourire satisfait ne disparaissait pas de mes lèvres tandis que le Comte Olaf se ressaisissait.

    Le Comte Olaf : « Vous avez parfaitement répondu à ma question ma chère. J’avoue que je suis particulièrement étonné que votre père vous confie un rôle aussi important dans la société »

    Erzébeth : « Oh mais vous savez, Comte Olaf, les femmes sont loin d’être bêtes ou limitées. Vous vous rendriez compte de nos capacités si vous vous y intéressiez de plus près »

    Je lui adressai un large sourire, je ne m’étais pas laissé faire et c’était loin d’être la dernière fois d’ailleurs. Sur ces paroles, mon voisin se retourna vers son autre voisine avec qui il sembla entrer en grande discussion. J’entendis de nombreuses réflexions autour de moi allant de ma beauté stupéfiante à l’indignation de la confiance que mettait mon père en moi … Après tout, je n’étais qu’une femme d’après pas mal de personne. La soirée se passa quand même agréablement. Je fus de nombreuses fois invitée à danser et je répondis toujours favorablement à ces demandes, j’avais tout de même suivi l’éducation de ma mère et j’étais une jeune demoiselle du monde en plus d’être une politicienne acharnée. Je fis fuir nombres de prétendants en faisant de l’esprit et en parlant politique et je m’amusai également à briser quelques cœurs. J’eu d’ailleurs quelques belles propositions de mariage que je m’empressai d’éconduire. Je voulais avant tout m’assurer une place stable à la tête de mon Duché avant de penser à avoir des enfants ou autres. La soirée se termina enfin et je rejoignis mes appartements, accompagnée de ma mère et de mon père qui avaient également eu droit aux mêmes remarques que moi. J’étais vraiment heureuse que cette soirée se termine et j’étais surtout impatiente de refaire mon entrée à Erat. Le lendemain, nous passâmes encore une journée au palais avant d’aller prendre congé du roi et de nous préparer à rentrer chez nous. J’en étais heureuse et j’avais vraiment hâte de retrouver mon chez moi et surtout mes habitudes. Lorsque j’arrivai au manoir d’Erat, juste au bord du lac, le mois d’Aout en était à sa moitié. J’en profitai pour étudier différents dossiers au soleil, lorsqu’il daignait pointer le bout de son nez bien évidemment.

    Tous les ans, ma famille et moi étions conviés à passer quelques semaines au Palais. Je n’étais jamais vraiment enchantée de m’y rendre, m’ennuyant d’Erat et pourtant, les règles de la bienséance voulaient que je réponde présente à ces invitations. Mes vacances dans la capitale s’avérèrent d’un ennui mortel jusqu’à l’année passée en fait. Mes journées étaient aussi ternes que la pluie lorsque je le vis entrer. Lui, jeune homme bien de sa personne et pourtant totalement dénué d’intérêt à mes yeux. Il m’annonça que le conseillé du Roi désirait me parler et je le suivis. C’est au cours de la discussion que j’eu avec le conseiller du roi que je pris connaissance des Hussard, l’armée d’élite du roi. Bien entendu, je ne comprenais pas vraiment pourquoi cet homme m’en parlais au premier abord ce qui fut bien vite éclaircit car il me demanda d’en faire partie à mon tour mais dans le plus grand secret. L’idée m’intéressait vraiment. J’avais une place inimaginable pour une femme et j’étais plus susceptible qu’une autre de voir clair dans le jeu des personnes avec qui je traitais habituellement et surtout, j’étais au courant de choses que personne ne savait. J’étais une femme et généralement, je passais plus ou moins inaperçue selon mon désir. Bien entendu, j’aimais m’affirmer mais les hommes parlent librement entre eux, que je sois là ou non. Ils s’étaient finalement fait à moi sur 2 ans comme je m’étais faite à eux et ils n’avaient pratiquement plus aucun secret pour moi. C’est ainsi que j’intégré les Hussards et que je fus mise au courant de l’existence des vampires. De cette révélation s’est immédiatement ensuivie une véritable fascination. Bien entendu, j’avais entendu parler d’histoire de Vampires et de Lycans mais je n’avais jamais voulu y prêter foi, prétendant que tout cela n’était que balivernes et pourtant, je venais d’avoir la preuve que ces histoires étaient bel et bien véridiques.

    0°0° Ses Ambitions °0°0


    Mes ambitions ne sont pas vraiment démesurées en vérité. Bien entendu, elles peuvent le paraitre aux personnes qui n’arrivent pas à ce faire à l’idée qu’une femme est aussi bien capable de diriger un peuple qu’eux. Ma première ambition est évidemment de veiller sur Erat comme une mère sur son enfant et surtout, d’être un jour en mesure de prendre les rennes de mon Duché en main aussi bien voir mieux que ne le fait mon père. Ce dernier est d’ailleurs persuadé que je ferai une parfaite politicienne et que je suis totalement apte à prendre sa succession au moment venu. J’apprends cependant encore et toujours à ses cotés ce qui m’est extrêmement utile.

    J’ai une autre ambition qui est cependant beaucoup moins avouable depuis ma rencontre avec les vampires. Je rêve de faire partie de leur clan et d’obtenir la jeunesse éternelle et surtout, le contrôle éternel sur mes terres. Pourtant, ma transformation ne semble pas à l’ordre du jour, je n’en ai d’ailleurs encore jamais parlé à un seul des vampires que je fréquente en faisant partie des Hussard. Ce que j’attends, c’est le jour où je m’éprendrai d’un vampire et surtout où il s’éprendra de moi et uniquement de moi. Je sais que la vie éternelle doit certainement fournir des tentations éternelles également mais il n’est tout de même pas interdit de croire en l’amour en fin de compte. Un homme avec qui je pourrais me marier et régner éternellement sur Erat.



Code Réglement


  • Pour être sûre que vous avez lu le réglement:[Code bon]vu par Ylandre


Dernière édition par Erzébeth Döme le Mar 19 Jan - 19:37, édité 3 fois
Revenir en haut Aller en bas
http://vampires-dawn.forumactif.com/forum.htm
Silver Dansco
- Admin -

Silver Dansco


Messages : 139
Pièces d'Or : 5772
Date d'inscription : 09/01/2010

Erzébeth Döme - A Wonderfull Human Empty
MessageSujet: Re: Erzébeth Döme - A Wonderfull Human   Erzébeth Döme - A Wonderfull Human Icon_minitimeMar 19 Jan - 19:25

Bienvenue parmi nous très chère Duchesse. Bonne continuation pour ta fiche. Si tu as une quel conque demande le staff est là. Tu n'as qu'à le Mpoter Wink . En ce qui concerne le code il est incomplet malheureusement. Mais nous te laissons le temps de retrouver la partie manquante. Bonne continuation et dis nous quand tu as terminé Wink .
Revenir en haut Aller en bas
Vicente Lucas
- Admin -

Vicente Lucas


Messages : 198
Pièces d'Or : 6112
Date d'inscription : 09/01/2010

Erzébeth Döme - A Wonderfull Human Empty
MessageSujet: Re: Erzébeth Döme - A Wonderfull Human   Erzébeth Döme - A Wonderfull Human Icon_minitimeMar 19 Jan - 19:31

Bienvenue Very Happy

Comme te l'a dis notre chère Silver, le code est incomplet (il manque justement la phrase de Silver que tu n'as pas trouvé Razz )

Sinon bonne chance et bonne continuation pour ta fiche Wink
Revenir en haut Aller en bas
Erzébeth Döme
- Humain -

Erzébeth Döme


Messages : 91
Pièces d'Or : 5469
Date d'inscription : 19/01/2010

Erzébeth Döme - A Wonderfull Human Empty
MessageSujet: Re: Erzébeth Döme - A Wonderfull Human   Erzébeth Döme - A Wonderfull Human Icon_minitimeMar 19 Jan - 19:32

Merci beaucoup :red:

Je viens de me rendre compte qu'il me manquait Silver :boulet: Je modifie ça de suite :mdr:
Revenir en haut Aller en bas
http://vampires-dawn.forumactif.com/forum.htm
Erzébeth Döme
- Humain -

Erzébeth Döme


Messages : 91
Pièces d'Or : 5469
Date d'inscription : 19/01/2010

Erzébeth Döme - A Wonderfull Human Empty
MessageSujet: Re: Erzébeth Döme - A Wonderfull Human   Erzébeth Döme - A Wonderfull Human Icon_minitimeMar 19 Jan - 19:38

Double post :red: Pas bien :red:

Modification du code et fiche terminée, pas eu besoin du 2e poste pour finir :boulet:
Revenir en haut Aller en bas
http://vampires-dawn.forumactif.com/forum.htm
Vicente Lucas
- Admin -

Vicente Lucas


Messages : 198
Pièces d'Or : 6112
Date d'inscription : 09/01/2010

Erzébeth Döme - A Wonderfull Human Empty
MessageSujet: Re: Erzébeth Döme - A Wonderfull Human   Erzébeth Döme - A Wonderfull Human Icon_minitimeMar 19 Jan - 20:28

Et bien chère duchesse j'ai l'immense honneur de te valider Very Happy

Et oui un Lycan qui valide une humaine avant deux vampires et un autre Lycan c'est pas la classe ça ? :emu: :boulet:
Revenir en haut Aller en bas
Némésis Dansco
- Admin -

Némésis Dansco


Messages : 102
Pièces d'Or : 5372
Date d'inscription : 09/01/2010

Erzébeth Döme - A Wonderfull Human Empty
MessageSujet: Re: Erzébeth Döme - A Wonderfull Human   Erzébeth Döme - A Wonderfull Human Icon_minitimeMar 19 Jan - 21:02

LILIIIIIIIIIIIICE!!!
Bienvenuuuuuue!!!!

<3
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Erzébeth Döme - A Wonderfull Human Empty
MessageSujet: Re: Erzébeth Döme - A Wonderfull Human   Erzébeth Döme - A Wonderfull Human Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Erzébeth Döme - A Wonderfull Human
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Erzébeth Döme - The Link's Of a Wonderfull Human
» ET BIM !!!! (fe Erzébeth Döme)
» The Diary Of Erzébeth Döme
» Who Is Really Erzébeth ?! That's the question *boulet*

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: --Avant que la guerre ne commence-- :: VOTRE PERSONNAGE :: - Fiches Validées-
Sauter vers: