Vicente Lucas [Lycan]

• Nom : Lucas
  

• Prénom : Vicente
  

• Age et dâte de naissance : (apparence et réelle)
  
  Date de naissance : 6 novembre 1320
  age réel : 33 ans
  age d'apparence : 22 ans
  

• Profession:
  

• Caractère:
  

(décris le caractère de ton personnage en une dizaine de lignes)

Mon caractère ? Détrompez vous si vous pensez que je suis quelqu'un de forcément méchant. Je sais mordre et je sais griffer quand il le faut mais je suis également quelqu'un qui sait s'amuser et profiter de la vie. Je ne suis féroce que lorsque l'on me cherche ou lorsqu'on veut me donner des ordres, chose que je déteste plus que tout. Quelque peu rebelle, il se peut que je n'obéisse pas à toutes les règles ni a toutes les lois du clan des Lycans. Pourtant, tout rebelle que je suis, je tiens quand même un minimum à la vie donc je me force à respecter les règles. Sinon, si vous ne me cherchez pas de noises, je peux tout à fait être un gentil petit louveteau et je peux même vous aidez en cas de besoin,sympa non ? . Aors ne croyez pas à tout ce qu'on vous dit : j'ai beau être un lycan, je peux tout à fait me montrer gentil. Pourtant, à l'heure de la pleine lune, je ne garantie rien donc si je devais vous donner un conseil ne vous approchez pas trop de moi

• Physique:
  

(décris l'apparence de ton personnage en une dizaine de lignes)

Mon physique ? Non, je ne suis pas narcissique donc je vais vous dire comment je suis réellement. J'ai des cheveux d'un noir de geais et des yeux aussi verts que la plus pure de toutes les émeraudes. J'ai une apparence physique d'un jeune homme de 22 ans mais je vous rassure c'est tout à fait normal. Par contre, quand vient la pleine lune, mon corps change totalement d'apparence et le jeune homme laisse la place à la bête assoiffée de sang et de bagarre. Oui, je suis un Lycan et qui dit Lycan dit que, sous l'influence de la pleine lune, ma deuxième apparence fait surface et je me transforme en un loup géant, une bête, un monstre crée pour tuer. Mes yeux changent de couleurs et deviennent bleus tandis que des poils apparaissent sur mon corps, ainsi que des crocs et des pattes. Ma vitesse et ma force sont décuplées

• Avant votre transformation:
  

(Raconte nous ton histoire en une dizaine de lignes)


J'avais 10 ans à cet époque et j'étais heureux enfin....je crois avoir été heureux...mes souvenirs sont si flous pourtant j'ai l'impression que cette époque a été une époque cruciale dans ma vie. Pourquoi ? Parce que c'est l'âge de l'innocence. L'époque où on ne comprend pas réellement ce qui se passe et on ne pense qu'à jouer avec les autres, sans trop se poser de questions. Pourtant, je n'étais pas vraiment comme ça. En effet, je me souviens d'un soir ou....

« Vicente ! Aide moi à labourer la terre ! »
« Bien père. J'arrive ! »

J'aidais donc mon père à labourer la terre, tandis que ma mère et ma petite soeur étaient occupées ailleurs. Ah...Helena....ma chère soeur. Dieu seul savait à quel point je l'adorais, même lorsque je n'avais que 10 ans. Elle en avait 12 et elle s'occupait de moi aussi bien que ma mère. Bref, nous étions entrain de labourer la terre, pourtant, je ne travaillais pas très vite aux dires de mon père et j'étais rapidement épuisé. La nuit tombait et mon père m'avait obligé à terminer mon travail sinon je ne mangerais pas. Hochant la tête, je me mis donc au travail. Pourtant, j'eus bientôt les mains glacées en sang. Heureusement, Helena vint me voir avec un bol de soupe qu'elle avait réussit à prendre à la cuisine. Elle me l'apporta

« Tiens Vincente; il faut que tu manges....
"Merci Helena....c'est gentil et ça tombe bien parce que j'avais faim !"

Donc, ce fut grâce à Helena que je pus continuer à labourer la terre de mon père en toute tranquillité, sous le regard bienveillant de ma soeur


Je me souviens également du lendemain de mes vingts deux ans. Pourquoi donc ? Parce qu'il s'agissait de l'époque durant laquelle j'ai dû renoncer à la vie humaine pour avoir une existence de chien au service de son maître.
Oui, je m'en souviens. Des hommes sont venus et nous ont embarqués en nous disant que nous allions quelque part. Pourtant, tout ne se passa pas comme prévu. Ma petite soeur, Helena, et son fiancé avait été séparé de nous un court instant et ce fut là que le carnage commença.
Ils ne devaient pas s'éloigner et pourtant ils l'ont fait. Aussitôt, des bêtes monstrueuses nous attaquèrent. Les gardes nous protégèrent, mais ils n'étaient pas assez nombreux. S'en suivit de longues minutes de batailles contre ces bêtes.
Plusieurs gardes furent tués et ma soeur, avec son fiancé, furent mordus par une de ces bêtes. J'avais peur. J'ignorais de quoi il s'agissait. À coté de moi, je pouvais entendre mes parents, paniqués :

« Oh...seigneur....Cours Vicente !! Cours !! Sauves toi !!
-Fils ! Ne reste pas là !! Attention !!
-Père !! Mère !! Helena !! Marc !!
-Ne t'en fais pas pour nous Vicente. Cours et sauve ta vie ! »

Je ne compris pas. J'avais beau avoir vingts deux ans, je restais sans rien faire alors que toute ma famille se faisait dévorer sous mes yeux. Les bêtes les mordaient devant mon regard alors que les gardes m'embarquaient de forces avec eux.
Finalement, le carnage s'estompa et ma famille comptait parmi les morts. Les gardes avaient demandés de brûler les corps mais je m'y étais fermement opposé et je les avaient empêché de faire ça, alors que je faisais une lourde erreur.
En effet, alors que je croyais ma famille décimée, leurs corps se mit à changer et ils se transformèrent en des monstres hideux, moitié humain moitié loup. J'avais vaguement entendu parler des légendes mais je ne les croyais pas.
Soudain, le corps de mon père se leva pour marcher vers moi et m'attaquer, mais un des gardes lui trancha la gorge, juste devant moi en m'ordonnant :

« Dans la calèche vite ! Dépêches toi ! Cours ! "

Mais je restais figé, n'ayant plus la force de bouger, devant toute ma famille qui, à présent, étaient devenus pire que des bêtes sauvages. Ils ne semblaient pas me reconnaître et m'attaquais quand ils en avait la possibilité.
Finalement, je restais indemne et après que toutes les bêtes furent tués, nous continuâmes notre route vers un château. Je n'avais absolument aucune idée de ce qu'il allait m'arriver, mais je réussissais à garder la foi.
Nous arrivâmes bien vite et les gardes nous trainèrent le long des couloirs. Là, j'eus le temps de croiser une demie seconde, le regard d'un prisonnier, avant d'être amené dans une salle dans laquelle, d'énormes bêtes grondaient, tandis que des hommes hurlaient de douleur et de peur.
Qu'allait il m'arriver ? Avais je été sauvé par les gardes simplement pour être ensuite jeté en pâture à ces bêtes ? J'avais peur, évidemment, j'étais terrifié, mais quelque chose en moi me disais pourtant de continuer à avancer.
Je pu alors voir, toute l'horreur de ce qui arrivait à mes « compagnons ». Ils s'avançaient et les bêtes les mordaient, puis les gardes les portaient pour les amener dans les cellules que j'avais vu précédemment.
Finalement, ce fut mon tour. Je m'avançais vers la bête, poings liés et, au lieu de crier et de ressentir une quelconque peur, je réussis à regarder la bête dans les yeux, avant de sentir une atroce douleur irradier mon cou.
Elle me mordais j'en étais conscient. J'avais si mal que j'aurais pu supplier pour qu'on m'achève, si j'avais eu la force de parler à ce moment là. Les crocs de la bête ressemblaient à des lames de couteaux finement affûtées, qui ne semblaient pas vouloir me lâcher. Pourtant, après un temps qui me parut interminable, elle me lâcha et je tombais en avant, sans avoir conscience d'être porté par les gardes.
Puis, ils me jetèrent sans vergogne dans une cellule et ce fut là, où tout mon calvaire commença. Le temps que je reprenne conscience, j'étais dans une cellule, proche de celle de l'homme dont j'avais croisé le regard auparavant.
Nous nous dévisageâmes en silence, tandis que je portais mes mains à mon cou, étonné de découvrir un collier :

« Pourquoi ?...Que s'est il passé ?.....
-Alors, on a de nouveaux chiens aujourd'hui ? Voyons voir ! »

Les gardes me dévisagèrent également puis éclatèrent d'un rire gras, sans que je ne comprenne pourquoi. Tout ce qu'il me venait à l'esprit à présent, était cette scène atroce durant laquelle toute ma famille avait été décimée par ces bêtes sauvages.
Je me retournais alors, pour voir l'homme dont j'avais croisé le regard auparavant, avant de recevoir une intense douleur sur le dos, comme si je recevais un coup de fouet, ce qui était vrai, car on me fouettais.
Surpris, je tombais en avant, à quatre pattes, sous la douleur, tandis que les coups de fouets augmentaient en nombre et en vitesse. J'entendais d'ailleurs les gardes ricaner entre deux coups de fouet :

« Ne t'en fais pas toutou. On saura bien te dresser fais nous confiance
-C'est vrai ! Reste couché pour voir ! Et tu as intérêt à être obéissant ! »

Un nouveau coup de fouet cingla mon dos, qui se couvrit de zébrures. Je saignais, j'en avais conscience pourtant, je fis un effort pour me retenir de crier, en me rappelant ce que m'avais dis mon père un jour : « Ne crie pas. Ne montre jamais ta faiblesses à tes ennemis. Sois fort Vicente. »
Alors, je ne criais pas malgré les coups de fouet qui ne semblaient pas vouloir s'arrêter. La suite de mon histoire est également horrible. J'appris que j'étais devenu un Lycan, un esclave, et que je devais servir les vampires, que c'était mon destin.
Pourtant, au fond de moi, je désirais venger ma famille de ces bêtes qui, pourtant, étaient comme moi. Le temps passa et je me lia d'amitié avec un autre Lycan qui cherchait toujours à me protéger lorsque les vampires s'acharnaient sur moi.
Je me souviendrais toujours de son nom : Warjen. Malheureusement, il avait été tué pratiquement sous mes yeux. Cette fois, je ne pus me retenir de pleurer. Mes larmes coulaient même toutes seules.
Je me souviendrais toujours de ce jour où nous nous étions rencontré et ou nous nous étions liés d'amitié et, malgré le manque d'intimité qu'offrait ma cellule, Warjen m'apportais quand même un peu de bonheur.
Ce jour là d'ailleurs, ce fut lui qui me parla avec enthousiasme, alors que je commençais à déprimer :

« Un jour, j'aimerais tellement pouvoir sortir d'ici...
-Ne t'en fais pas mon ami. Ce jour arrivera bientôt. Garde la foi et ai confiance »

Puis, il me parla vaguement d'un certain Lucian, que je ne connaissais que vaguement, car j'appris que c'était avec lui que j'avais échangé mon premier regard, avant d'être transformé en Lycan.
Au fil du temps, l'amitié qui me liais avec Warjen gagna en intensité et je commençais à ne plus tenir compte de mon statut d'esclave. Même le fouet ne me faisais plus rien. Mon corps souffrait, saignait, mais mon âme et mon coeur étaient apaisés par la simple présence de Warjen. J'étais en paix même quand les gardes me jetaient dans ma cellule puisque Warjen la partageait avec moi.
Puis, une autre mésaventure, et cette fois, la plus ignoble et monstrueuse de toutes arriva. Warjen me soignais alors que je venais de subir une autre de mes habituelles séances de tortures.
Une fois que je fus en forme, il me pris dans ses bras et m'enlaça fortement. Je ne compris pas et essayais de m'exprimer :

« Warjen....qu'y a t il ? Que t'arrive t il ?
-Vicente....si je dois mourir...que ce soit en esclave ou pas....je veux mourir heureux...
-Pourquoi me dis tu ça ? Pourquoi devrais tu mourir ?
-Parce que je vais commettre quelque chose d'horrible

J'ouvris de grands yeux : qu'essayait il de me dire ? Pourquoi disait il qu'il allait commettre quelque chose d'horrible ? Il ne répondit pas à ma question mais se jeta soudainement sur moi, me renversant au sol.
Je ne compris que lorsque j'entendis les gardes ricaner d'un rire gras : ainsi, ils s'amusaient de nous voir nous battre et nous entretuer ? Très bien, Warjen et moi allions leur donner satisfaction.
Nous commençâmes donc à nous battre, en faisant semblant de hurler de douleur, pour revenir à l'attaque. Pour nous c'était un jeu. Ce ne fut que lorsque quelqu'un ordonna aux gardes de quitter leur postes, que nous arrêtâmes.
Je riais comme un enfant et Warjen me rejoignis. Heureux, alors que je ne l'étais pas souvent, je m'exclamais :

« C'était super tu ne trouves pas ? On les a bien eus hein ?
-Ouais on s'est super bien amusé mais il faut que je t'explique quelque chose
-Cette chose horrible que tu vas commettre c'est ça ?

Il hocha la tête et se rapprocha de moi, si bien que son souffle titilla mon oreille. Ses dents me mordillèrent gentiment le lobe, comme un chiot qui veut jouer. Je gémis de surprise, avant de sentir une de ses mains venir caresser mon bas ventre, tendrement.
J'eus un gémissement d'aise, en commençant à comprendre où est ce qu'il voulait en venir. Ce fut étrange car je ressentis divers sentiments en moi, si forts, qu'il était impossible de tout décrire en détails.
Il arrêta pourtant ce qu'il avait l'intention de faire, pour se mettre à creuser le sol de la cellule avec les mains, sous mon regard étonné. Quelques instants plus tard, un trou béant apparu et il m'entraina à sa suite.
Nous atterrîmes donc dans un des nombreux souterrains du château et Warjen m'entraina vers l'endroit où il y avait le plus de lumière :

« Je l'ai choisi exprès. Comme ça les vampires ne pourront pas nous découvrir »

Oui, parce que les vampires craignaient le soleil, ça les tuaient. Une fois que nous fûmes arrivés à destination, je restais bouche bée. L'endroit était tout simplement magnifique, il n'y avait pas d'autres mots pour décrire la beauté du lieu.
Je restais donc plusieurs minutes ainsi, à contempler ce lieu qui était inaccessible aux vampires et totalement offerts aux Lycans, même si Warjen et moi étions, apparemment, les deux seuls Lycans au courant de cet endroit.
Puis, les choses sérieuses commencèrent. Silencieusement, Warjen me fit me retourner et me plaça contre un mur froid. Ce contact sembla apaiser mon torse brûlant et je soupirais d'aise encore une fois. Je me sentis si bien que je ne remarqua même pas que Warjen entreprenait de défaire mon pantalon.
Finalement, sans que je ne dise quoi que ce soit, je me retrouvais à faire l'amour avec Warjen, dans un endroit baigné de soleil. Je ne le voyais pas certes, mais je le sentais contre moi, en moi.
Sa chaleur et sa présence me faisais tout oublier. Au fil des minutes, le rythme s'accéléra et devint rapidement infernal. Des gouttes de sueur perlaient mon front, tandis que les mains de mon amant se resserraient sur mes hanches, pour que je puisse ressentir sa présence en moi, au maximum.
C'était si bon...je n'avais jamais été aussi heureux de toute ma vie de Lycan esclave, mais mon corps ne tarda pas à lâcher et je tombais sur le sol froid, entrainant Warjen avec moi, qui tomba à mes cotés.
Essoufflé mais heureux, je me tournais vers lui, en murmurant :

« Warjen....c'était magnifique....me....merci....
-Je t'en prie Vicente.....moi aussi j'ai aimé....et je dois t'avouer quelque chose....
-Va y je t'en prie...explique moi tout....
-Grâce à toi....je vais pouvoir mourir heureux....sans avoir aucun regret.... »

Il m'embrassa et nous dormîmes quelques heures, l'un contre l'autre, avant de remonter, tranquillement et discrètement dans nos cellules, jouant encore au jeu dans lequel nous devions nous entretuer.
Pourtant, le temps passa et je fus plus fouetté que je ne l'avais jamais été. On m'avais mis au service d'une certaine vampire nommée Matrichka, qui choisissait ses esclaves simplement pour avoir la jouissance de les voir souffrir sous les coups de fouets de ses gardes personnels.
Mon corps en sang, fut immédiatement soigné par Warjen qui, après le départ des gardes, m'embrassais et me donnait du sang pour que mes capacités de régénération fonctionnent au plus vite.
Puis, lorsque je fus guéris, je me redressais, sous le regard inquiet de Warjen, que je rassurais aussitôt. Soudain, une voix puissante s'éleva dans les airs :

« J'ai vécu selon leur règles toute ma vie....je les ais protégé, admirés et pourquoi ? Pour être traité comme un animal. Nous ne sommes pas des animaux !!! Nous avons le choix !!! Nous pouvons décider d'être plus que ça !! Nous pouvons être esclaves ou être Lycans !!
-Que se passe t il ? Pourquoi autant de bruit ? Qui est cet homme ?
-Vicente. Je te présente Lucian !

Je levais la tête. L'homme qui amenait tous les Lycans à sa cause était l'homme dont j'avais croisé le regard avant de devenir Lycan moi même. Être esclave ou Lycan....la question ne se posait pas !
Pour moi c'était clair, il n'y avait pas de choix à faire ! J'allais être Lycan, je ne voulais plus être esclave ! Ma voix et mon cri se mêla alors à la foule alors que Warjen m'imitais en serrant ma main dans la sienne.
Rapidement donc, nous fûmes au courant de tout le plan. Je n'avais pas peur, je savais que j'étais soutenu par Warjen, qui ne me lâcherais pas. Nous avions d'ailleurs prévu de nous déclarer une fois que tous les Lycans seraient libres.
Pourtant, malgré la force de persuasion de Lucian, tout ne se passa pas comme prévu pour moi. Il arriva à me faire sortir et je pris la main de Warjen l'entrainant ainsi à ma suite. Nous courions le plus silencieusement possible dans les couloirs, pour ne pas nous faire repérer, quand soudainement, le feu éclata. Des flèches d'arbalètes cassèrent les vitres et transpercèrent la moitié des nôtres, qui ne pu s'en sortir. Malgré tout, je resserrais ma main dans celle de Warjen, ne me résolvant pas à le lâcher. C'était clair : sans lui, je n'avais aucune idée de ce que j'allais devenir dehors. La liberté sans lui ne me servirait à rien.
Pourtant, malgré tous nos efforts, Warjen se fit, lui aussi, transpercé par une flèche d'arbalète. Je crus que mon coeur allait exploser et je criais, comme un hystérique :

« WARJEN !!! »

Il n'était qu'à quelques centimètres de moi, mais je ne pouvais rien faire pour lui. Des larmes coulèrent sur mes joues, alors que Warjen me regardais tendrement. Il tendit faiblement la main vers lui et je la pris alors que les tirs continuaient.
Pendant près d'une minute, le temps sembla s'arrêter en avec cet instant. La douleur que je ressentais était insoutenable mais il fallait que je la surmonte. Je le savais mais, c'était tellement....tellement douloureux...
Surtout que Warjen, me disais, avec une faiblesse de plus en plus grande :

« Je t'en prie Vicente....cours....ne t'occupes pas de moi....cours et sauve ta vie...
-Non Wajren ! Je vais te sauver ! Nous sommes libres tous les deux ! Sans toi, je ne suis rien dehors ! Warjen tiens bon ! Je t'en supplie !
-Cela ne sert a rien Vicente...mon amour.....mon aimé.....Je t'aime....cours....sauve toi.... »

Je baissais la tête alors que les autres Lycans couraient pour s'en sortir. Une flèche fut tiré et je fus entrainé malgré moi dans le courant des Lycans qui voulaient leur liberté. Moi, je courais aussi, mais plus parce que j'étais entrainé qu'autre chose.
Une fois que nous fûmes sortit de la forteresse, nous atteignîmes la forêt et ce fut à ce moment là que je devins allergique à qui que ce soit. Malgré le fait que Lucian voulait que nous soyons unis, que nous travaillions en groupe, je m'isolais, préférant trouver la paix dans la solitude....


Pourtant, lors de la bataille que nous menions tous contre les vampires, je ne pu résister à l'appel de Lucian. Il se transforma et son cri retentit dans les bois. C'était la pleine lune et je me transformais. Hurlant à la lune, hurlant ma tristesse et ma détermination de venger Warjen, je rejoignis Lucian dans cette guerre millénaire, accompagné de tous mes frères Lycans, ayant cependant perdu l'homme qui comptait le plus pour moi....

• Pour être sûre que vous avez lu le réglement:
  

J'ai l'immense honneur de te valider!

*Est toute émuuuuuuue*

Merci ô noble vampirette *____* xD

(J'ai même pas mis le code du réglement mais c'est pas grave xD vu que je suis de la maison j'ai tous les droits xD)

Y en a pas surtout x)